Ma question ne concerne pas directement l'émancipation , j'avais fais un très long texte après m'être inscrit ,
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Je sais déjà tout à propos de cette procédure ( sauf une fameuse chose ) et ai fait les démarches nécessaires.
Je rentre dans le vif du sujet , ma mère a déposée une plainte mensongère contre moi en Juin 2015 ( 8 mois ). J'ai étais convoqué à la Gendarmerie une semaine après les faits présumés , j'ai étais entendu par un gendarme qui une fois avoir appelé le parquet m'a bien dit qu'il n'étais pas convaincu par la version de ma mère et que la plainte allée probablement être classé sans suite.
Depuis la situation avec ma mère c'est améliorée , ma mère a pourtant reçu un appel de l'un des gendarmes de cette brigade il y a deux jours.
L'informant que le Procureur souhaité s'entretenir avec elle ( pas avec moi , mais c'est long à expliquer ) dans les locaux de la Gendarmerie ( logique ).
Je me pose des questions , si la plainte a réellement était classée sans suite , pourquoi ?
J'ai envoyé une lettre au TGI destinée au JAF quelques jours avant ça au sujet de l'émancipation , sollicitant un rendez-vous. Vous pensez que ça peut avoir un lien ? Dans ce cas pourquoi le gendarme l'ayant appelé a t'-il cru que je n'étais plus au domicile ? C'est largement précisé dans ma lettre..
Et pourquoi dans les locaux de la Gendarmerie et pas dans son bureau ?
Je dois m'attendre à quoi à mon arrivée ?
Ps : Est-il vrai que l'on ne peut pas être émancipé ayant une plainte au c** ?
Je m'interroge :p
Merci à vous de m'avoir lu !