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Un collaborateur et moi-même avons décidé de nous lancer dans une activité de vente de matériel d’économie d’énergie, chauffage et isolation en créant une SARL. Parallèlement à la constitution de cette dernière, nous nous sommes mis à la recherche d’un véhicule d’occasion très peu kilométré et très bien entretenu pour effectuer la prospection et les visites aux clients et fournisseurs.
Nous avons ainsi repéré sur le site

Persuadé d’avoir trouvé le véhicule adéquat, mon collaborateur, agissant en qualité de fondateur de la SARL en cours de formation, a acquis ce véhicule le 15 septembre 2013 auprès du vendeur pour le prix de 18 500 € payé comptant.
Le 22 septembre 2013, la SARL a été immatriculée au RCS et les engagements souscrits par les fondateurs ont été repris par une décision unanime des associés lors d’une assemblée générale du 23 septembre 2013. j'ai été nommé gérant de la SARL.
La prospection intensive des clients a immédiatement commencé et les premiers désordres sont apparus (bruits importants en provenance du train avant, perte de puissance en accélération, déclenchement aléatoire du ventilateur …).
Lors du changement de carte grise, mon collaborateur apprend que le véhicule avait été accidenté le 5 juin 2013 et avait fait l’objet d’une procédure « VGE ».
Immédiatement contacté, le vendeur a répondu qu’il ne comprenait pas « car le véhicule n’avait aucun vice au jour de la vente et n’avait subi aucune transformation ».
Une expertise a confirmé le passage au marbre du véhicule et des travaux de réparation effectués pour un montant de 14 749 € suite à un accident (choc important à l’avant et procédure VGE). Le véhicule avait été remis en circulation le 2 septembre 2013.
Je furieux car le véhicule est immobilisé, alors qu’il n’a parcouru que 2000 kilomètres, ce qui met en péril l’activité de la société. Il a fallu dans l’urgence prendre en location un autre véhicule, ce qui pèse lourdement sur les finances de la TRES jeune société.
Le vendeur campe sur ses positions estimant qu’il a vendu un véhicule réparé dans les règles de l’art et déclaré en état de circuler par l’expert automobile.
Faute de pouvoir obtenir un règlement amiable de cette affaire, j'envisage une action en justice, sachant qu’il n’est pas question pour moi de garder un tel véhicule inapte à l’usage intensif qui devait être le sien.