Publicité
Les exemples les plus flagrants s'observent lors de divorce entre des parents de différentes nationalités. Le père français et la mère russe par exemple.
Il est ignoble pour ainsi dire de voir comment la mère perd immédiatement tous les droits sur son enfant. Le père s'arrange à obtenir la garde de l'enfant pas tant parce qu'il tient à ce dernier que parce qu'il souhaite causer un tort maximum à son ex-épouse. Un exemple de ce genre existe et j'ai personnellement été attrister du fait que plutôt que de remettre l'enfant à la mère une fois que la justice s'est aperçue que le père n'était pas digne d'avoir la garde de l'enfant, elle a préferé la confier à une famille d'adoption, limitant de surcroit le nombre de visites de la mère. Une question s'impose ici. Cette femme a t elle cessé d'être une bonne mère parce qu'elle a quitté son épou?
Il serait pourtant souhaitable d'opter pour une stratégie qui tiendrait compte de plusieurs elements:
-La situation familiale avant et durant le divorce.
-Les besoins réels de l'enfant
-La situation concrète après le divorce de chaque parent.
Car en fait l'objectif majeur que devrait rechercher la justice: Minimiser autant que faire ce peut les répercussions on ne peut plus négatives du divorce des parents sur les enfants. Il va de soit que certains parents ont besoin de soutien après cette épreuve pour pouvoir continuer à s'occuper de leurs enfants. Le système juridique se doit de leur fournir ce soutien car effet le but recherché est le bien-être d'une mineure qui ne peut pas encore se prendre en charge et qui a besoin de soins d'aide et d'affection. Pourquoi ne donc pas en tenir compte, avant de prendre des décisions qui n'ont pour effet que de traumatiser davantage les enfants.