Coventions de Genève
Cent quatre vingt quatorze Etats ont adhéré à ces conventions. La convention d’origine de Genève établissant ledit traité eut lieu
en mille huit cent soixante quatre. Le sort des blessés ainsi que des malades , dans le corps de l’armée, s’en vit amélioré.
Les conventions apportant des éléments additifs à ladite convention d’origine eurent lieu à partir de 1949, date à laquelle eut lieu la première convention de Genève. Elle eut pour but d’améliorer encore un peu plus la condition des blessés et des malades durant la guerre. Elle étendit donc le champ d’action de la convention originale, puisque prévoyait de prodiguer des soins et de meilleurs traitements non seulement aux militaires mais aussi aux civils. Dans cette convention sont déclarés comme prohibés : les tortures, mutilations, humiliations , meurtres, supplices ainsi que les atteintes à l’intégrité corporelle ; les prises d’otage ; les atteintes à la dignité des personnes ainsi que les traitements humiliants et / ou dégradants ; les condamnations prononcées et les exécutions menées sans un procès s’étant déroulé dans un tribunal dit régulièrement constitué, donc non extraordinaire. Les blessés et les malades doivent être recueillis et pris en charge. Elle prévoit également la protection des formations sanitaires, soit des hôpitaux, cliniques ou bien baraquements faits sur place pour le soin des blessés et / ou des malades. Elle prévoit que ces formations soient gardées par des infirmiers armés, ou bien directement par des soldats armés. Elle prévoit également que tout membre du personnel de santé fait prisonnier devra être considéré comme prisonnier de guerre et devra servir à des tâches visant à soigner les malades et / ou les blessés si le besoin est .
La troisième convention porte, elle, sur le traitement des prisonniers de guerre. Elle définit ce que sont les prisonniers de guerre ; elle établit qui peut être considéré comme tel. Ainsi , tout membre d’une milice armée fait prisonnier peut être considéré comme prisonnier de guerre, ainsi que tout membre d’une organisation de résistance. C’est à partir du moment où une personne fait partie d’un mouvement de force armée de manière volontaire et qu’elle est faite prisonnière qu’elle obtient le statut de prisonnier de guerre. Elle doit alors avoir une personne à laquelle elle obéit (le groupe doit être doté d’un chef) , avoir un signe la distinguant des civils et / ou autres combattants, et porter ouvertement des armes. Les personnes ne faisant pas partie des organisations qu’elles suivent (comme l’équipage d’un bateau , par exemple) seront aussi considérées comme prisonnières de guerre si faites prisonnières. Elle prévoit également que les prisonniers dits de guerre soient traités avec humanité (article 13) , et qu’aucune mesure de représailles ne doit être prise à leur encontre. Ainsi sont interdites toutes les mesures d’intimidation et / ou d’humiliation, et la torture physique et / ou morale. Elle prévoit également l’égalité du traitement des femmes prisonnières de guerre de celui de leurs équivalents masculins. Les interrogatoires des prisonniers de guerre devront être effectués dans une langue qu’ils comprennent. Les effets personnels devront leur être laissés, et ils ne pourront à aucun moment être délestés de leurs papiers d’identité. Les objets ayant une valeur sentimentale doivent également être laissés aux prisonniers de guerre. Notons que le régime alimentaire auquel les prisonniers de guerre sont habitués doit être respecté (article 26).
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